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Êtes-vous un manager toxique ?

Il existe 3 catégories de pratiques de supervisions contre-productives qui peuvent se révéler particulièrement problématiques dans un contexte d’équipe.

 

Il s’agit de la supervision en silo, du favoritisme et de l’autocratie.

 

  • La supervision en silo réfère tout simplement aux pratiques qui incitent les membres à travailler individuellement sans tenir compte de leurs liens d’interdépendance. Le fait de se limiter à organiser des rencontres individuelles ou à ne fixer que des objectifs individuels transmet forcément aux membres le message qu’il n’y a pas de véritable intérêt à collaborer entre eux.

 

Le cadre qui gère en silo le fait soit parce qu’il ignore comment faire autrement, soit parce qu’il ne comprend pas lui-même l’intérêt du travail en équipe.

 

  • La deuxième catégorie de pratiques de supervisions contre-productives est le favoritisme, pour des raisons assez évidentes !

 

  • l’autocratie qui correspond à l’exercice d’un contrôle excessif.

 

Différentes raisons, incluant les traits de personnalité et le stress, peuvent expliquer pourquoi certains cadres ont tendance à tout prendre en main et à se montrer rigides sans consulter les membres de l’équipe.

 

Évidemment, en plus de générer du stress chez les membres, l’exercice d’un contrôle excessif restreint grandement l’autonomie de l’équipe et prive l’organisation des réels avantages du travail en équipe.

Afin d’assouplir son style de gestion, le cadre perçu comme étant autocratique peut, entre autres, s’exercer à employer des techniques d’écoute active, revoir le format de ses réunions afin de permettre plus d’échanges et chercher à développer des liens de confiance avec les membres.